Rétro-Camping au Roc-St-André, du 14 au 17 mai 2015
Partir avec nos vieilles voitures,
Partir comme jamais on ne part,
Tenter ensemble l’aventure,
Jeudi c’est le jour du départ. (Vous pouvez fredonner sur l’air de la quête de Brel).
Eh oui ! Sortie inédite sur 4 jours du jeudi de l’ascension jusqu’au dimanche suivant. Debout aux aurores pour un rassemblement au jardin des plantes à Avranches. Vingt et une voitures pour un départ à 8 heures précises, on ne va pas passer inaperçu avec en tête le beau cabriolet Mercédès de Gérard. B et fermant la marche, l’attelage de JeanClaude. Q avec le fourgon et l’alpine Renault sur plateau. Le début du parcours nous fait craindre un week-end pourri avec un ciel plombé et des averses à répétition mais heureusement, ça va s’arranger au fil des heures. Nous avons à effectuer un parcours d’environ 180 kms pour arriver au camping du Roc Saint André. Arrêt à mi-parcours pour une pause-café et pause-pipi sur la base de loisir de Trémelin. La météo s’est améliorée, pour l’instant il ne pleut plus mais ce sera un répit de courte durée. Contrariété au redémarrage, c’est le mot qui convient car la voiture de Gérard. B cale à chaque essai de départ. Jean Paul. T, le Mac Guyver de la mécanique cherche et trouve la panne, une réparation de fortune avec un morceau de fil électrique nous permettra de rejoindre notre destination. Sur un week-end de 4 jours il y aura forcément d’autres petites anecdotes. Nous repartons, il était temps car la pluie nous accompagne à nouveau. Vers midi, arrivée au Roc sans autres faits notoires. Chacun va chercher : Qui son emplacement pour monter la tente, qui sa petite caravane rétro ou son mobil-home avant d’aller pique-niquer sous le barnum du camping et celui que nos GO (Gentils organisateurs, comme au club Med dit !) ont monté la veille. A propos de nos GO, Gérard et Marie claire. B, Christian et Nadine. L, il faut souligner le travail considérable que nécessite une sortie sur 4 jours pour plus de 40 personnes. Trouver les routes secondaires où nous pourrons circuler sans trop gêner les autres, chercher les emplacements et les lieux de visite pour pouvoir s’arrêter à 21 voitures cela représente plusieurs heures et plusieurs voyages. Les contacts et achats avec les fournisseurs et l’intendance que nous évoquerons un peu plus loin, chapeau et merci à tous les quatre. Nous en étions à jeudi, après avoir pris possession de nos emplacements respectifs et nous être restaurés quartier libre pour tout le monde, une volée de moineaux qui s’égayent. Nous sommes partis à une dizaine faire une balade sur le chemin de halage du canal de Nantes à Brest. A l’écluse No 28, rencontre improbable pour Maryvonne. V, elle revoit sur un bateau, un ami d’enfance perdu de vue depuis 40 ans. Elle n’avait pas fait appel à Jacques Pradel, un simple hasard mais elle est coutumière du fait car connue comme le loup blanc, (j’aurai pu dire blond). Pour le repas du soir, Christian. L a allumé le barbecue, diner sympa sous la tente avec les David Guetta de l’AVA, Alain. N et André. A. Paradoxe, le plus ancien est venu avec sa console électronique dernier cri, clé USB et télécommande de programmation ; le plus jeune avec son Teppaz années 60 et ses vinyles. Bravo et merci aux duettistes pour l’animation des soirées. Rappelons que dans un twist endiablé, Sylvie.T s est payée le luxe d’une déchirure musculaire. Vendredi matin Jean Paul nous emmène visiter La Gacilly bien connue pour les produits Yves Rocher, son festival de la photo et ses nombreux artisans d’art ; L’après-midi sortie collégiale au château des Rohan à Josselin, certains qui connaissaient l’édifice guidés par Gérard et Christian ont préféré la balade des rhodos en bas des remparts. Jean Paul et Christian ont tenté et réussi la montée du clocher. Vendredi fin d’après-midi, retour en passant par la petite église de sainte Catherine où Gérard. C a massé ses mollets avec l’eau miraculeuse de la fontaine ; Peut- être que Sylvie aurait dû en faire autant mais c’était plus gênant, la douleur se situait en haut de la cuisse. Samedi matin, petit déjeuner houleux dans le mobil-home de Jean Paul qui dans une magnifique cascade emporte la table et la vaisselle, compagnon de logis et d’infortune, Michel.L sur sa voiture sera en panne de batterie. Donc après le petit déjeuner certains sont allés à Malestroit d’autres à Ploërmel où l’on peut admirer une magnifique horloge astronomique. Pour le déjeuner Yvette. L et Maryvonne. V nous ont décoré les tables. L’après-midi, visite de Rochefort en terre une magnifique petite ville bâtie sur un promontoire rocheux comme Josselin. Retour avec un arrêt à Malestroit près du canal dans un très bel endroit. Le soir diner de gala commandé à un traiteur, les sympathiques propriétaires du camping Myriam et Laurent ont été invité. Au cours de cette soirée séquence émotion, à l’unanimité les membres du bureau présents décident de remercier pour leur action et leur dévouement ceux qui se sont donnés tant de mal pour organiser ces 4 jours. Seront ainsi honorés : Marie Claire et Gérard B, Nadine et Christian. L, ainsi que Edith et Guy qui en maintes occasions ont gratuitement fournis plusieurs kilos de bulots pour le club. Ils auront droit à un Mug gravé de leur prénom. Ambiance musicale et dansante jusqu’à 11 heures pour cette dernière soirée. Dimanche matin préparation au départ avec démontage des tentes, nettoyage des mobil-homes; Déjeuner et la bonne volonté de certains a permis de démonter le chapiteau avant le départ. Début d’après-midi, nous repartons vers Avranches ; Un arrêt café-pipi à Montauban de Bretagne et un autre à Combourg. Lors de cette pause Christian. L, constatera que les roulements de sa pompe à eau ont du plomb dans les ailettes. Pour arriver à destination, passage incontournable par le gué de l’épine où Yvette et Henri. L, seront confrontés à la cavalcade de 2 chevaux ayant sautés par-dessus leur enclos. Finalement ils seront 25 irréductibles pour aller à la salle finir les restes. Plus haut dans ce résumé nous vous avons évoqué l’intendance, voici quelques chiffres : 60 litres de rosé, 50 litres de rouge, 100 saucisses, 100 côtes de porc échine, 100 tranches de poitrine d’agneau, 30 tranches de jambon blanc, pomme de terre, carottes, betteraves, radis, salades rien que des légumes bio épluchés sur place. Nous n’oublions pas l’épicerie et les desserts confectionnés sur place par nos GO. Ces dernierssont revenus le lundi aidés de Jean Paul, Sylvie et Christophe. B pour rapatrier le matériel : tables, chaises, frigos, chapiteau, etc… Et il restait encore quelques détails à régler le mardi. Voilà le résumé d’une belle réussite par la volonté des organisateurs, de ceux qui ont aidés et de tous les présents à ce beau week-end.
Gérard. V et Gérard. B.
Photos Michèle D./ Anthony G. / Michel L. / Gérard V.